Tous les articles par Cie de l'Albatros

Prochaines représentations

2 août 2014 – 21h à BLAUVAC
Soirée Jean-Michel RIBES (extraits de Théâtre sans animaux, Pièces détachées, Musée Haut Musée Bas)

12 septembre – 20h30 au Centre Tertiaire à LAGNES
Soirée Jean-Michel RIBES (extraits de Théâtre sans animaux, Pièces détachées, Musée Haut Musée Bas)

18 octobre 2014 – 20h30 à L’ASTROLABE théâtre à SORGUES
Soirée Jean COCTEAU ( Lectures : Le Bel Indifférent + Le Fantôme de Marseille, Pièce : Les Mariés de la Tour Eiffel)

 

Dimanche - Pièces détachées
Dimanche – Pièces détachées

 

Musée Haut Musée Bas
Musée Haut Musée Bas
tableau
Les Mariés de la Tour Eiffel

Le Misanthrope par la Cie Jean Thomas ce samedi 14 Juin 2014 à 21h au Théâtre des 4 Ânes à Pernes

Alceste hait l’humanité tout entière, y dénonce l’hypocrisie, la couardise et la compromission. Mais il aime pourtant Célimène, coquette et médisante. Le vertueux se lance ainsi dans des combats perdus d’avance qui l’acculent à la fuite…Molière y critique les mœurs de la cour, l’hypocrisie qui règne dans cette société du paraître où les comportements frisent la parodie.

Création 2013
Mise en scène Michel PAUME

Réservation impérative!!!  (seulement 54 places disponibles) au 04 90 61 34 81 ou 06 20 38 03 14 ou encore 04 90 66 51 93

misantrope

Rencontre exceptionnelle avec Jean Touzot

Dimanche 20 avril à 18h au Centre Culturel des Augustins

Dans le cadre de son Après-midi Jean Cocteau, le Festiv’Albatros vous propose une rencontre exceptionnelle avec M. Jean Touzot, professeur émérite de littérature française à l’Université de Paris-Sorbonne, et auteur de plusieurs livres consacrés à l’oeuvre de Jean Cocteau comme Cocteau à cœur ouvert : les dernières années paru aux éditions Bartillat le 5 septembre 2013.

jean_touzot

Résumé: En 1951, à la demande de son fils adoptif, Cocteau revient à la pratique du journal intime, qu’il intitule Le Passé défini et destine aux lecteurs de l’avenir. Il le tiendra jusqu’à la veille de sa mort en 1963. Avec une liberté inaccoutumée, Cocteau se livre «à coeur ouvert», un coeur parfois lourd et meurtri d’être incompris et mésestimé. Dans une grande variété de thèmes et de tons, on y trouve des anecdotes inédites sur sa vie et celle d’autrui, des jugements savoureux et parfois cruels sur ses contemporains, une volonté de s’affranchir des tabous. Fort de sa grande connaissance de l’univers du poète, Jean Touzot analyse tous les aspects de cette entreprise testamentaire et dévoile les coulisses d’une existence brillante. Auprès de Francine Weisweiller et d’Édouard Dermit, Cocteau s’est trouvé une nouvelle famille, lui assurant une sécurité affective et matérielle. À Santo Sospir, dont il s’évade pour se laisser entraîner dans des voyages d’agrément ou de travail, il mène grand train jusqu’à ce qu’il soit chassé de ce «paradis». Il sait toutefois s’abstraire de cet environnement luxueux pour se ménager des heures de solitude créatrice. Avec la découverte de la poterie, de la peinture de chevalet et surtout la décoration de quatre chapelles, on peut soutenir que les dernières années du poète auront été des plus fécondes. Son attirance vers le paranormal, son approche du fait religieux, son attitude au seuil d’une mort imminente surprendront le lecteur.

C’est un Cocteau méconnu que nous invite à découvrir Jean Touzot dans cet essai qui s’approche au plus près du mystère d’un homme mais qui reflète aussi la vie tourbillonnante d’un des plus brillants esprits de son temps.